Nouvelle vie avec une transformation totale

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il y a 8 ans

Je me prénomme Jean, j'ai 22 ans, dans une semaine j'ai fini mes études, j'ai passé ses 3 ans après le bac dans une université du Nord de la France, durant cette période, j'ai bossé comme un fou, laissant ma vie amoureuse de côté, mais pas mes fantasmes !

Car je ne suis pas comme les autres, je porte 24H/24H des couches-culottes, ce n'est pas que je suis incontinent, mais j'aime en portées !

Donc, cela fait 3 ans, que je vis chez l'habitant, ma chambre est dans les combles, d'une maison de ville, je vis chez une femme, je ne la vois que très rarement, je sais juste que c'est une infirmière à la retraite.

Il y a longtemps que je ne cache plus mes couche, les usagées, je les mets dans mon sac-poubelle, que je ferme et descends chaque fin de semaine !

On peut me classer dans la catégorie DL (Diaper Lover = j'aime porter des couches, c'est le sens que je me donne), je n'ai jamais cherché à aller plus loin.

Ma vie d'étudiant se termine cette semaine, après je ne sais ce que je vais faire, trouver un boulot, ça, c'est mon but, mais dans cette région, ce sera dur, donc comme je n'ai aucune attache ici, je suis orphelin, j'irai surement sur la capitale.

Aujourd'hui, c'est le jour de mon départ, je range mes affaires, ma porte est ouverte, j'entends du bruit et je me retourne, ma propriétaire est là, sur le bas de ma porte :

  • Bonjour Jean.

  • Bonjour Madame.

  • Alors, c'est le grand départ ?

  • Oui, c'est le grand jour, le chèque est prêt, si c'est cela que vous vouliez savoir - Non, du tout, Jean, je voulais juste t'inviter à venir boire un dernier verre, viens vers les 17h, si tu veux.

  • Oui, je veux bien Madame, et je vous déposerai le chèque.

  • OK, à tout à l'heure.

  • Oui, à tout à l'heure.

Je continue mon rangement, je n'ai même pas fait attention, mes couches et culottes trainées sur mon lit.

J'ai fini, je descends avec mes affaires, et frappe à sa porte, elle m'accueille dans sa tenue d'infirmière, blouse blanche et collants blanc, je me rends compte que c'est la 1ére fois que je me rends chez elle, c'est mignon, sans plus.

Autour d'un verre, sans alcool, on discute de tout et de rien, elle me demande ce que je ferai après, etc., et elle me demande comme ça :

  • Jean, j'ai une question.

  • Oui, laquelle ?

  • Et bien, je me suis toujours demandée, excuse-moi, mais un jour je suis tombée sur un de tes sacs-poubelle, et dedans il y a avait des couches-culottes souillées, c'était à toi ?

  • Oui, c'était à moi.

  • Tu es incontinent ?

  • Pas vraiment, Madame, c'est juste que j'aime porter des couches, je ne peux plus m'en passer, cela fait des années que je n'utilise plus les toilettes.

  • Ah bon, donc c'est plus une passion alors ?

  • Oui, on peut dire ça.

  • Tu fais pipi et caca dedans, excuse-moi, mais tu n'as pas l'air de le cacher et tu en parles si librement.

  • Oui, j'en parle librement et je n'ai pas honte, c'est ma nature et je fais pipi et caca dedans.

  • J'ai envie de te proposer quelque chose, arrête moi tout de suite si quelque chose te dérange.

  • Oui, pas de problème, Madame.

  • Comme tu le sais ou vois, je vis seule depuis des années, je ne vois que des étudiants de passage comme toi, j'ai toujours voulu avoir un e n f a n t , maintenant il est trop tard avec mon âge, j'aurais aimé m'occuper de lui ou d'elle, etc. donc si tu le veux bien, j'aimerais que tu restes un peu avec moi, le temps qu'il faudra, par exemple une année ou plus si tu le veux, je voudrais que tu deviennes mon bébé, je m'occuperai de te donner ton repas, te changer, te laver, etc. tu en penses quoi ?

  • Euh, je ne sais que vous dire, Madame.

  • Mais tu n'es pas contre ?

  • Ben, à vrai dire, non.

  • Alors, Jean ? Je te propose un contrat d'un an.

  • Un an ?

  • Oui, durant cette année, tu seras nourri, logé et blanchi, je me chargerai de ta transformation, tu seras mon bébé, et tu évolueras dans le bon sens, tu passeras du stade bébé à une jeune fille, tu sais que tu peux avoir confiance, je suis une ancienne infirmière.

  • Oui, c'est vrai, je peux avoir confiance, donc vous me travestirez en femme ?

  • Oui, en quelque sorte, c'est pour ça que ton éducation commencera au stade bébé, pour reprendre toute ton éducation, au début, je pense que cela te troublera, mais c'est pour toi que je ferai ça, pour ton bien.

  • OK, pas de problème.

  • On commence ?

  • Déjà ?

  • Ben oui.

  • OK, mes affaires ?

  • Tu n'en as plus besoin, j'ai tout ce qu'il faut.

  • Je t'explique un peu le début, dés l'instant où tu rentreras dans ta nouvelle chambre, tu deviendras mon bébé.

  • D'accord, Madame Nicole.

  • Oh, je sens comme une touche de soumission dans tes dires !

  • Oui, je rentre dans le jeu.

  • C'est bien mon petit, donc comme tu le sais un bébé ne parle pas, ne contrôle pas ses envies, il est en couches 24h/24h, boit des biberons.

  • Oui, c'est exact, Madame Nicole.

  • Donc tu ne t'opposeras pas à recevoir des piqures pour te faire perdre tes contrôles ?

  • Non, du tout, y a que ce moyen ?

  • Oui - Ok, Madame Nicole.

  • Et aussi, un bébé à la peau lisse, tu deviendras imberbe, avec un traitement hormonal, pas de problème ?

  • Non, il y a des effets secondaires ?

  • Non, quasiment pas, tu auras une vraie peau de jeune fille, dit-elle avec un sourire.

  • Ok, Madame Nicole.

  • Suis-moi, nous commençons ta transformation.

Je la suis et j'arrive dans une pièce, c'est une vraie chambre de bébé, il y a un lit à barreaux, un parc, une chaise bébé, des armoires remplies de couches, culottes, vêtements, etc.

  • Et bien, vous êtes vraiment équipée, c'est le rêve cette chambre.

  • Oui, c'est vrai, tu as de la chance, non ?

  • Oui, bien sûr, mais à quoi peut servir cette table ?

  • Et bien, c'est simple, c'est une table gynécologique, que j'ai recyclée en table à langer - Oui, je vois ce sera plus facile.

  • Bon allez tu parles beaucoup, un bébé ne parle pas autant, maintenant chut ! et déshabille-toi.

J'enlève mon tee-shirt, jean, chaussettes, chaussures, je suis juste en couche devant elle.

Elle me fait signe de monter sur la table, elle pose mes chevilles dans les étriers, les fixent et fait de même avec mes bras, je proteste, mais simplement d'un chut, elle continue, elle va chercher un truc dans l'armoire à pharmacie, et je la vois une seringue à la main qu'elle remplie, elle s'approche de moi :

N'ai pas peur, mon chéri, comme je te l'ai dit, tu parles trop, le produit que tu vas recevoir te réduira au silence peu de temps, c'est juste que je veux me concentrer, et ne pas d'entendre tout le temps, tu es OK ?

  • Ben je n'ai pas le choix ?

  • Si, tu veux, tu peux encore dire non, après je ne ferai plus machine arrière.

  • OK, on y va.

  • Surtout, ne bouge pas !

C'est direct dans la bouche, l'effet est très rapide, plus aucun son ne sort de ma bouche.

Elle continue, elle m'enlève ma couche, et me nettoie le sexe, avec des lingettes, elle le décalotte même, je l'observe avec une glace au dessus de moi, je ne loupe rien, c'est un pur bonheur, de se faire dorloter ainsi, je sens une piqure sur mon sexe, il débande aussi vite, il devient tout flasque, comme sans vie ou endormi, je ne sens même plus ses mains sur lui, elle a dû l'anesthésier, car à l'introduction du tube en alu dans mon méat, je ne sens rien, elle ne le laisse pas, c'est juste pour faciliter le passage d'une sonde urinaire, je vois mon urine sortir.

Elle a fini de ce coté là, elle passe maintenant à mon anus, elle me pose un spéculum, et n'hésite pas à l'écarter, je ne vois pas trop ce qu'elle fait, mais je sens comme une piqure à l'intérieur, ensuite je la vois prendre un broc et elle me fait un lavement, une fois fini, elle commence à me langer, du talc en premier, elle me lève les fesses et glisse un change complet qu'elle garnie d'une bonne dizaine de couches droites, elle a même du mal à le fermer.

Elle me détache les bras, je me mets assis comme je peux, elle me bloque le dos, et je reçois encore une piqure dessus :

  • Allez mon petit, descends et lève-toi vite.

Je descends, mais je sens rapidement mes jambes devenir comme du coton, j'en tombe même :

Voilà, c'est mieux ainsi, je t'explique : tu as reçu plusieurs piqures, une : pour te rendre sans paroles, une : pour empêcher toute érection de ton petit robinet, une : dans ton anus pour endormir tes sphincters et la dernière : dans ton dos, pour te remettre à 4 pattes, comme un bébé. Maintenant, tu es vraiment incontinent.

Elle me fixe une énorme tétine, et m'habille, m'enfile une culotte molletonnée, en plastique et aussi préformée, mon entre-jambes est écarté d'au moins 20 cm, elle me passe un haut de la même matière, et aussi des grosses moufles, je perds ainsi l'usage de mes mains.

Elle me dit de me rendre dans le parc, j'y vais à 4 pattes, elle le ferme.

Je suis au milieu de plein de peluches, jouets, etc.

  • Amuse-toi bien mon chéri, maman revient tout à l'heure !

Que lui répondre, avec cette tétine !

Je ne pensais pas que cela serait ainsi, cela se voit que c'est une professionnelle, rendre une personne incontinente et paralysée est vraiment facile quand on a les bons produits !

J'ai hâte de passer le stade bébé, car ce qui me plait le plus dans ce qu'elle m'a dit, c'est de me travestir en femme, cela a toujours été un de mes fantasmes.

J'essaie de me concentrer, je ne ressens rien au niveau de mon pénis, que des crampes dans mon estomac, le lavement doit s'évacuer de lui-même, je me lève un peu, je sens le caca remplir mes couches, mais pas les odeurs.

Elle revient avec des biberons dans les mains, comme je ne suis pas assez grand pour elle, elle me les donne dans le parc, j'ai droit à un biberon de lait, de légumes et un autre aromatisé, ce n'est pas bon, mais elle me f o r c e à tout finir.

À la fin, elle soupèse mes couches, cela ira pour la nuit dit-elle, avec son aide, elle me fait monter dans le lit, elle me glisse dans une grenouillère géante, et comme les parents le faisaient à son époque, elle m'attache au lit, je ne peux vraiment pas bouger !

  • Allez bonne nuit mon petit, tu as besoin de beaucoup de sommeil, avec cette piqure tu vas vite retrouver un cycle de bébé, tu auras très peu de période de réveil, à chaque réveil tu trouveras du changement. Bonne nuit à demain.

Et je sombre dans un profond sommeil.

Je me réveille, je suis toujours paralyser, je ne sais quelle heure il est, elle ne tarde pas à venir, avec un biberon de lait, elle m'enlève ma tétine, pour y glisser le biberon, je suis assoiffé, il est vite bu Elle défait les liens du lit à la grenouillère, pour les ramener au-dessus de moi, elle accroche mes différentes extrémités à un palan électrique, grâce à ce dernier, je suis emmené sur la table.

Elle me met à nu, me lave, prends une tondeuse, et ôte tous poils et cheveux.

Elle glisse mon sexe dans une cage de chasteté, elle est toute petite.

Elle continue les piqures, plus une dans le bras, celle-là, c'est mon traitement hormonal, j'en recevrais par la suite 3 par jour.

Je pers la notion du temps avec tout ce qu'elle me fait subir.

Je prends vite un rythme de bébé.

Voici à peu prés une de mes journées :

Je dors la nuit, dans une grenouillère en plastique, d'ailleurs tous mes vêtements le sont !

Madame Nicole, me réveille, avec l'aide de son palan, elle me transporte dans une chaise haute, là je prends mes biberons de lait, ensuite sur la table, elle me lave et change mes couches, elles sont toujours bien remplies. Je reste une heure dans le parc, mais je m'endors vite, elle ne me change qu'une fois le matin, sinon, je reste la journée avec mon gros paquet aux fesses.

Un jour, je me réveille complètement nu, sur le sol, je peux me mettre debout, je suis sans couche, j'en profite pour essayer de voir mon corps, je suis imberbe, plus aucun poil sur mon corps, je constate que mon pénis est tout petit, mais vraiment petit, je n'ai plus de sonde, mes testicules ont l'air d'avoir complètement disparues, mon zizi ne fait en gros qu'un tout petit centimètre, et le pire, c'est que de l'urine en sort.

  • Mais que fait tu là Jean ? Je te laisse dix minutes, et voilà comment je te trouve, il faut que tu te protèges de suite.

Elle me prend par la main, et me montre le tiroir de la commode :

  • Cela fait 1 mois que tu es avec moi, j'ai finie la régression que je voulais faire avec toi, je passe à la suite ! Tu vois tout ceci ? Ce sont tes affaires : il y a bien sûr des couches, culottes plastiques, socquettes, chaussures et une petite robe, maintenant tu as grandie ma petite fille, tu peux t'habiller toute seule, et pour finir tu mettras cette belle perruque blonde aux beaux cheveux bouclés. Ensuite, tu viens me rejoindre en bas.

  • Oui.

  • Il faut dire : oui, Madame, il va falloir que je t'apprenne de suite les bonnes manières ! Va mettre ta tête dans le carcan ! Il est au fond de la chambre, d'ailleurs, le lit à barreaux a laissé la place à un lit 1 personne, avec une parure en latex, il n'y a plus rien qu'y fasse bébé dans ma chambre.

Elle ouvre un autre tiroir, et en sort une cravache, c'est sous ces petits coups que je m'y rends, je pose ma tête et poignets dedans et elle le referme.

Tu vas devenir très sage et très obéissante ma petite Jeanne ! C'est vingt coups que tu vas recevoir sur tes petites fesses.

Elle commence doucement, mais les dix derniers coups furent très fort, je crie, la douleur est trop forte.

  • J'espère que cela te servira de leçon, Jeanne !

  • Oui, Madame.

  • Très bien, Jeanne, habille toi et rejoins-moi en bas !

  • Oui, Madame.

  • Elle me libère du carcan, et elle descend, me voici seule.

J'ouvre le tiroir de la commode, je prends un change complet + 2 couches droites, je les pose sur le lit, et me lange avec. Par-dessus, je passe une culotte ouvrante à pressions rose, et une autre en coton avec froufrous et dentelle. J'enfile les petites socquettes blanches, je passe la petite robe blanche et rose, je chausse des chaussures blanches à petits talons de 3 cm et me coiffe de la perruque.

Je rejoins la Maitresse de maison, elle se trouve assise au salon dans un fauteuil, cravache à la main.

Approchant vers elle, je la vois tapoter de sa cravache sur un cousin posé à ses pieds, je comprends que ce sera ma place. Face à elle à genoux, elle me dit :

  • Jeanne, on va parler sérieusement, comment te trouves-tu ainsi ?

  • Je suis un peu surpris par le changement que mon corps a subi, Madame.

  • Surprise, qu'il faut dire ma fille, tu vois bien que tu as plus une apparence féminine que masculine maintenant.

  • Oui, Madame, c'est vrai.

  • As-tu des questions ou remarques ?

  • A vrai dire, Madame, je suis surpris par ce qu'il se passe à mon entre-jambe… - Tu veux dire ton zizi ?

  • Oui, Madame, il est tout petit et de plus je crois que je suis devenu vraiment incontinente.

  • Ceci est du aux nombreuses piqures que tu as reçue ce dernier mois, ça a eu l'avantage de rendre temporairement incontinente, mais l'inconvénient est de réduire la taille de ton sexe d'homme. Je ne crois pas que cela te déplaise ?

  • Non, Madame, j'aime ceci et suis surprise que cela me plaise.

  • Tu aimerais aller plus loin ?

  • Plus loin ? C'est-à-dire ? Madame.

  • Ecoute, je te propose quelque chose de simple, je te propose d'être à mon service, tu seras toujours logée, nourrie et blanchie, tu ne t'occuperas de rien, c'est moi qui s'occupe de ton éducation complète, de tes vêtements ou tenues, et de tes changes, mais pour ceci, il te faudra encore évoluée, je ne veux t'en dire plus, car ce sera la surprise, il faut t'attendre à de nombreux changements : physique, moral et aussi servitude.

  • Cela veut dire, Madame, que je serai en quelque sorte votre femme de ménage ?

  • Oui, plutôt ma soubrette et aussi mon esclave, tu vas également prendre un traitement hormonal plus fort, ceci aura donc pour effet de te féminisée plus.

  • Ce n'est pas évident, mais je suis d'accord.

  • Ok, on met de suite les choses au point, soulève ta robe et baisse tes culottes.

Je m'exécute, et je reçois encore 20 coups.

  • Tu as compris ?

  • Oui, Madame.

  • Pour l'instant, tu es encore une petite fille, et tu vas évoluer dans ta condition féminine, pour l'instant, je veux que tu commences à t'occuper de la maison, tu me feras le ménage, le repassage, la préparation des repas.

  • Oui, Madame.

Voici ton planning : tes journées commenceront ainsi :

1 - 6h00 : tu te lèves.

2 - tu te douches.

3 - tu t'habilles et te protèges.

4 - tu descends prendre ton déjeuner et tu prépares le mien : café, confiture et pain 5 - tu ranges et nettoies la cuisine 6 - 8 h 30 : tu me sers mon petit-déjeuner.

7 - le reste de la matinée, à toi de t'occuper avec ménage, linge, repassage, etc.

8 - 11 h 30 : tu prépares le déjeuner avec ce qu'il y aura dans le réfrigérateur.

9 - 12 h : tu déjeunes seule.

10 - 12 h 30 : tu mets la table pour moi dans la salle à manger.

11 - 13 h : tu me sers le repas, durant ce dernier, je veux que tu restes à mes côtés, mon verre ne doit jamais être vide, aucune miette de pain ou autres ne doivent rester par terre, tu dois toujours avoir à ta portée une pelle et balayette.

12 - 14 h : fin du repas, tu débarrasses.

13 - L'après-midi comme la matinée : entretien de la maison.

14 - 17 h 30 : préparation du dîner.

15 - 18 h : tu dînes 16 - 18h30 : tu mets la table pour moi dans la salle à manger 17 - 19 h : tu sers mon repas et comme le midi, tu restes prés de moi.

18 - 20 h : fin du repas, tu débarrasses.

19 - 21 h : dernier nettoyage.

20 - 22 h : tu montes dans ta chambre sans changer tes couches et passer ta nuisette.

21 - 22h30 : extinction des feux.

  • Désormais les toilettes te sont interdites, à part pour les nettoyer, tu feras tout dans tes couches, tu restes dans tes couches sales la journée entière. Je t'explique : le matin, tu mets un change taille M et trois couches droites ainsi qu'une culotte plastique et coton rose. Avant le repas du midi, tu montes, enlèves tes culottes et les laves de suite, ensuite tu déchires ton change et par dessus tu passes un change taille L et trois couches droites et une culotte plastiques et coton jaune. Et pour finir avant le repas du soir, tu fai de même, mais avec changes tailles XL avec trois couches et les culottes blanches. Tu as compris ?

  • Oui, Madame.

  • Il est déjà 11 h, tu prends ton planning et tu commences de suite !

  • Oui, Madame.

  • À partir de demain, je ne tolérerai plus aucun manquement, si quelque chose me déplait, tu recevras des coups et aussi des punitions.

  • Oui, Madame.

  • Allez, file faire ton devoir, je ne veux plus t'entendre.

Je décide de suite de me rendre dans la cuisine, pour prendre mes repères, et commence la préparation du déjeuner, je me fais un steak avec de la salade, mais pour Madame, je fais ce qu'elle a marqué sur le tableau de la cuisine, les repas de la semaine y sont notés.

Je suis le planning à la lettre, et 13 h arrive, je suis prête, Madame attends assise à sa place, sur plateau je lui sers son repas, et je reste stoïque à l'observer, à lui remettre de l'eau, et ramasser la moindre miette.

À la fin du repas, elle soulève ma robe, et de suite, elle me dit :

  • Va chercher ma cravache, et revient ici fesses nues, tu n'as pas mis d'autres changes.

Je reçois 20 coups et de suite je monte me langer. Je continue à suivre à la lettre mon planning...

Le reste de la soirée se passe sans coups de cravache.

Le soir dans ma chambre, je me déshabille pour passer la nuisette, elle est en matière plastique, mon lit a changé aussi, un oreiller, un drap-housse et un drap tout de latex fin et je sens une alèze très épaisse en dessous.

Chapitre 2

Le lendemain, à six heures, les lumières s'allument automatiquement, pas besoin de réveil, rien que cette lumière très intense suffit.

Je commence par aller dans la salle de bain, pour me laver, je tombe mes couches dans un sac-poubelle et prends une douche, je me lange et passe mes changes et culottes.

Dans l'armoire, j'ai une tenue pour chaque jour :

Lundi : Rose Mardi : Bleu clair Mercredi : Jaune Jeudi : v i o l ette Vendredi : Vert pomme Samedi : Noir Dimanche : Blanche Donc aujourd'hui, si je suis son calendrier, nous sommes lundi, je passe la rose.

Dans la salle de bain, je lave mes affaires d'hier à la main et les accrochent, j'ai tout ce qu'il faut même une table et fer à repasser.

Je regarde la pendule accrocher au-dessus de la porte : 7 h 30, il faut que je descende prendre mon petit déjeuner.

Dans la cuisine, je sens l'envie de faire la grosse commission et f o r c e est de constater que je suis incontinente.

8 h 30, j'entre dans la salle avec le plateau, et Madame et déjà là, à attendre, je la sers et attends.

La journée se passe très bien, pas un seul coup de cravache.

Les journées se suivent, de temps en temps je faute, mais c'est un peu exprès que je le fais, pour qu'elle s'occupe de moi, car sinon, je n'ai aucun contact avec elle.

Cela fait maintenant 3 mois que je suis à son service, une routine est même venue.

Samedi, journée normale, je pense, mais non, Madame reçoit, pour la 1ére fois en ma présence, deux couples ce soir. Ça fait plus de boulot pour moi. Les invités arrivent à 20 h, elle a préparé le menu, et je dois m'y tenir.

Vers les 19 h, affairée dans la cuisine, Madame, me rejoint :

  • Jeanne, ce soir, je veux que tu fasses un très bon service, les gens que tu verras ce soir sont très importants pour moi, et aussi un peu pour toi, donc je veux un service impeccable !

  • Oui, Madame.

  • Je veux que tu apportes des modifications dans ta tenue, tout d'abord tu iras remettre un change XXL avec quatre autre droit dans tes culottes, si tu crois que tu peux mettre plus, fais-le, je te veux avec un énorme paquet. Tu mettras tes escarpins noirs, ceux avec un plus haut talon, ensuite, voici un tablier que tu passeras sur ta robe, et enfin cette cagoule noire en latex. Va dans ta chambre te préparer !

  • Oui, Madame.

J'ôte ma robe et mes culottes, et prends dans la commode, un change XXL, je le pose sur le lit, je commence par poser une couche droite, j'en ajoute une puis une autres, au total, j'en dépose dix, je pose mes fesses dessus, en ayant pris soi avant de déchirer l'autre, la fermeture est délicate, mais doucement j'y arrive, heureusement que par-dessus, je mets deux autres culottes.

Je passe ma robe, et ce que je pensais se réalise, on ne voit que mon gros postérieur bien garni, je fixe le tablier blanc de soubrette et passe la cagoule de latex et mes escarpins.

Dommage qu'il n'y a pas de glace dans ma chambre !

Madame m'inspecte et ajuste ma cagoule. Elle ajoute :

  • Tu iras ouvrir quand ça sonnera, tu débarrasseras mes invités et les accompagnent au salon, là tu leur serviras à chacun une coupe.

  • Oui, Madame.

  • J'allais oublier, tu ne dois leur dire aucun mot, ni merci ou quoi que ce soit, il n'y a que moi, je répondrai pour toi s'il le faut.

  • Oui, Madame.

À 20 h, ça sonne, je me dirige vers la porte et ouvre. C'est un couple : Maitre Yann (il se présente à moi) est impeccablement habillé, costume cravate, très sérieux, dans la quarantaine, et sa compagne, une jolie blonde. Je les débarrasse, prends l'imper de Monsieur et aussi celui de sa compagne, je me dis de suite que j'ai en face de moi, une soumise, pourquoi ? Par sa tenue : elle porte des ballets-boots sur de grands bas en latex noirs, tenus par un porte-jarretelle, ses seins sont comprimés à la base par un soutien-gorge qui lui sert la base, donc les faits gonflés et pour finir de très longs gants, le tout en latex noir très brillant.

Je les prie de me suivre par un geste de la main, au salon, là ils rejoignent Madame, je leur sers une coupe, et attends.

À 20 h 30, le deuxième couple sonne, de même que le premier couple, je les débarrasse, là c'est le contraire, Maitresse Nikita (elle se présente aussi de suite) est toute de latex vêtue, seul son visage n'en est pas recouvert, par contre son soumis, du moins sa chose, doit être un homme, car je ne sais, il est dans une sorte de combinaison en plastique très épaisse, il a même du mal à se mouvoir, il porte un masque un gaz, je ne pense que ce dernier mangeras ce soir, s'il reste ainsi.

J'accompagne le dernier couple au salon.

La soumise a aussi, maintenant, un masque à gaz, mais tout de latex.

Mon service commence, je les sers à merveille, je n'ai aucun reproche de Madame, ce qui est dommage, c'est que je n'arrive pas à entendre leur conversation, les soumis des invités, restent stoïque, sur leurs chaises, ils ne mangent pas, d'ailleurs comment pourraient-ils ?

La fin du repas arrive, je me presse de tout débarrasser, la table est vite propre, par contre la vaisselle est plus longue.

Ce n'est que vers les 22h30, que je rejoins Madame au salon :

  • Mes amis, voici ma nouvelle soumise : Jeanne, au début ce n'était qu'un petit étudiant, fan de couches-culottes, il a été d'accord pour que je le prenne en main, et le faire régresser. Depuis, il, elle est devenue réellement incontinente, le stade bébé est passé très vite, elle en est au stade de petite fille, je prends son éducation en main, d'ailleurs elle prend des hormones, ses poils ne poussent plus, et j'espère que sa poitrine va se développer.

Maitre Yann commente :

  • Cela commence à être payant, tu as toujours su amener tes soumis à une totale servitude.

  • Oui, c'est vrai Yann, je la destine à devenir une belle jeune femme, plutôt à une jolie soubrette et esclave.

  • D'ailleurs, j'ai pour elle un cadeau, si tu me le permets ?

  • Oui, vas-y Yann, Jeanne mets-toi à genoux à ses pieds

Je m'exécute.

Il prend un sac, et en sort un masque à gaz en latex, le même que pour sa soumise.

Maitresse Nikita : moi aussi, j'ai un cadeau pour elle. Je vois qu'elle a un super paquet aux fesses, je suppose qu'il n'est pas plein, écoute bien Jeanne : ma chose est dans sa combinaison étanche depuis 48h, il se nourrit uniquement de liquide, et se fait dessus, donc il faut que je le vide.

Elle prend son sac, et en sort une pompe, y met un tuyau, qu'elle glisse dans mes couches, elle allume la pompe et mes couches se remplissent des déjections de sa chose. L'odeur est infecte et incommode tout le monde, elle stoppe. Elle sort, et reviens avec d'autres combinaisons : elle me tend la 1ére : elle est en caoutchouc, elle tombe ma robe et sous-vêtement, je suis seulement en grosses couches et avec le masque à gaz.

J'enfile la 1ére combinaison, elle zippe le derrière, ensuite, j'enfile une autre, un peu plus épaisse, et pour finir la même que la chose.

Maitresse Nikita annonce fièrement :

  • Voici une deuxième chose !

Ils rigolent tous les trois.

Madame ajoute :

  • Tu es gentille Nikita, mais moi, elle ne me sert à rien ainsi !

  • C'est vrai, écoute, je te propose de la prendre en main, je la garde huit semaines avec moi, à son retour tu auras une vraie jeune fille, pendant une semaine elle va rester dans sa combinaison, je la nourrirai par le tube et doublerais sa dose d'hormone.

  • Bien, je suis d'accord, dans deux mois, je récupère ma Jeanne.

  • Oui, dans deux mois, je donne une réception, et tu retrouveras ta Jeanne en parfaite soubrette.

Maitresse Nikita, pose sur ma tête un autre masque gaz, beaucoup plus contraignant, je n'entends pratiquement plus rien, et ne vois que par deux petits hublots de verre.

Chapitre 3

Debout, elle me place à côté de son autre chose.

La fin de soirée arrive, Maitre Yann m'accompagne et m'aide à monter dans la fourgonnette de Maitresse Nikita, il soulève mes bras et les accrochent au plafond de la camionnette, ainsi, je ne risque pas de tombée, je distingue un peu la chose qui est comme moi : suspendue !

Elle roule, je ne sais combien de temps, car cela semble très long.

Le véhicule s'arrête, la chose descend en premier, ce n'est qu'un bon quart d'heure plus tard, qu'elle m'accompagne, dans sa cave. Elle m'allonge sur le dos, elle s'affaire sur moi, je sens qu'elle attache des trucs à mon torse, bras, jambes, bassin. Elle enclenche un palan électrique, et je monte, je suis suspendue dans le vide.

Elle ferme la lumière, et me voici seule dans le noir.

J'en ai pour une semaine de calvaire !

Le lendemain, elle vient me brancher, je peux ainsi boire par l'intermédiaire du tuyau, et aussi manger, car régulièrement une pompe m'envoie aussi de la nourriture liquide.

Plusieurs fois par jour, elle vient me voir, elle regarde si ma combinaison n'est pas pleine, que mon alimentation s'écoule bien.

Cette semaine fut bien longue, mais le jour de la délivrance fut un bonheur.

Elle commence par m'enlever le gros masque à gaz, et là je découvre qu'elle aussi en porte un, certainement pour les odeurs !

Elle me défait la grosse combinaison, enfin, je peux me mouvoir, elle dézippe l'arrière de la deuxième et aussi la première :

Maintenant, nettoie-toi ! , je reviens dans une heure, tu as tout ce qu'il te faut ici, il y a une douche, je veux te voire propre, nue, à m'attendre ! Bien sûr, il faut que toutes les combinaisons soient propres.

Je hoche de la tête pour acquiescer, car j'ai toujours le premier masque.

J'arrive à faire tomber les 2 combinaisons, c'est innommable, de l'urine et de la matière fécale se mêlent ensemble, je marche dedans, je passe le masque pour limiter les odeurs, je regarde autour de moi, je prends un tuyau d'arrosage, et commence à tout nettoyer, tout coule dans une bouche d'égout. Voilà, c'est propre, j'ôte le masque à gaz, et file sous la douche, je constate en me lavant que je n'ai plus aucun cheveu sur la tête, en me passant du gel de douche sur mon torse, je sens une petite excroissance sur mes seins, ils poussent ! Mon pénis est toujours aussi inerte et petit, deux centimètres et mes testicules ont disparu.

Me voici propre ! J'attends Maitresse Nikita, nue !

La voici :

Suis-moi, Jeanne Oui, Maitresse Nikita.

On va dans ta chambre, dedans, tu y trouveras tout ce qu'il te faut pour te vêtir, comme tu ne connais pas encore, maintenant tu n'auras que du latex à porter, rien d'autre, je te montre, après tu te débrouilles !

Oui, Maitresse Nikita.

Dans ma chambre, se trouve un lit, recouvert de latex noir, une armoire, une commode et une salle de bain.

Elle me tend un change complet + plus des couches droites, et me fais signe de les mettre !

Elle prend un tube de talc, et m'en met sur tout le corps, Elle sort de l'armoire une combinaison noire, elle m'aide à l'enfiler, et la ferme derrière. De la commode, elle sort un masque, que j'enfile. Par-dessus la combinaison, je passe des bas, un string, une guêpière, tous rouges écarlates. Et pour finir, je passe une magnifique robe de soubrette noire, même le petit tablier blanc est en latex.

Elle parfait son travail en me maquillant les yeux avec du rimmel, et mes lèvres sont couvertes d'un rouge aussi écarlate que mes dessous.

Il ne reste que les chaussures à passer, ce sont de magnifiques bottes noires très brillantes, le talon est très haut, au moins 12 cm.

L'équilibre est incertain.

Jeanne, tu as maintenant une demi-heure d'intimité, à toi d'apprivoiser tes talons, et aussi de faire le tour de ta chambre et découvrir les trésors qu'elle recèle. Tout ce qui est ici est à toi, maintenant, à toi de bien y faire attention, et de les tenir propres, tu n'auras rien d'autre.

Oui, Maitresse Nikita.

Dés que tu auras finis, tu descends prendre tes fonctions de soubrette, il est déjà 10 h 30, j'ai fait la même chose que chez Madame Nicole, ton planning est affiché dans la cuisine.

Oui, Maitresse Nikita.

La 1ére que chose, est d'aller m'admirer devant la grande glace. Je suis magnifique, tel que je le voulais. Ma démarche est toujours moins maladroite, je me dirige dans la salle de bain, j'y trouve les consignes pour nettoyer mes vêtements de latex, une salle leurs est dédiés, pour pouvoir les sécher, dans une petite commode, il y a mes couches, le talc et les produits de maquillage y sont aussi + bien sûr les produits pour la toilette.

Dans l'armoire, le tout est par deux, et identique : 2 combinaisons de latex noir, 2 guêpières, 2 paires de bas, 2 masques, 2 strings rouges aussi, et 2 tenues de soubrette noire. Au bas de l'armoire, 1 autre paire de bottes.

Dans la commode, il n'y a rien.

11 h, je me rends dans la cuisine, ma démarche se fait plus franche.

Comme elle me l'avait dit, mon planning est bien affiché, il est le même que chez Madame Nicole.

Je prends vite mes habitudes, la maison est plus grande, donc j'ai plus de boulot, Maitresse ne me parle pas de la journée.

Le lendemain, de mon 1er jour, Maitresse ajoute à ma tenue d'esclave : des bracelets de cuir aux chevilles, que je devrais rangée dans la commode, d'ailleurs les nouveautés y seront mises.

Le 2éme jour : une autre paire de bracelets, mais pour les poignets.

Le 3éme jour : une chainette de 50 cm est fixée aux bracelets de mes chevilles, rendant mes pas plus courts.

Le 4éme jour : un masque de cuir m'est posé, celui-ci est très épais, il descend très fortement sur mon coup et ma nuque, il a aussi la possibilité d'avoir les yeux occultés et aussi la bouche : autour des yeux et de la bouche, il y a des pressions.

Le 5éme jour : une minerve rigide métallique et de cuir m'est fixée au cou.

Le 6éme jour : un bâillon pénis entrave ma bouche, il entre profondément dedans, à la limite du vomissement, à l'extérieur un phallus de très bonne taille prône ! Elle m'autorise à l'enlever uniquement pour prendre mes repas.

Le 7éme jour : un corset victorien m'est offert, avec celui-ci, j'ai une belle taille.

Voici comment se passe une de mes journées :

5 h : Je me lève plus tôt, car plus de préparation !

Je sors de mon lit, je dors avec une nuisette en latex transparent, dés la levée, je tombe mes couches et nuisette, je passe sous la douche, me lave les dents, plus de corvée de rasage, je suis totalement imberbe et chauve. Je mets mon rimmel et rouge à lèvres. Je passe mes couches 3 droites et un change complet, je passe sur mon corps du talc. Je passe dans la chambre, j'ouvre l'armoire, prends la combinaison, je mets maintenant un petit quart d'heure pour la mettre, ensuite je la lustre pour lui donnée son coté brillant, je sers au maximum le corset victorien, je passe le string, les bas que je fixe aux jarretelles, encore 15 minutes, je les lustre aussi. Je passe ma tenue de travail avec le tablier (eux je les ai déjà lustrées le soir précédent). J'enfile mes bottes. Je fixe les 2 paires de bracelets, fixe la chaine aux pieds, je passe le masque de cuir, ensuite la minerve, et enfin, avale ce phallus.

7 h 30 : je descends dans la cuisine, je prépare de suite mon petit déjeuner : un bol de chocolat, du pain et de la confiture, j'enlève mon bâillon, je prends mon repas et aussi mon traitement hormonal. De suite, à la fin, je le remets.

Je nettoie le tout, et commence la préparation du petit déjeuner de Maitresse Nikita : un bol de café noir sans sucre, un verre de jus d'orange, un verre d'eau, un pot de confiture, et 3 tartines.

8 h 30 : Maitresse est toujours à l'heure, je lui emmène son petit déjeuner sur un plateau, je lui dépose un à un les différentes choses. Plateau en main, droite, je me positionne sur son coté arrière droit. Sans mot, ni regard, une fois finie, elle se lève, je débarrasse de suite, nettoie et balaye sous la table. Ensuite dans la cuisine, je lave le tout.

Tous les matins, je dois aussi aller vidanger sa chose, je ne sais comment cet homme fait, mais il faut une sacrée endurance, l'odeur est exécrable, je regrette même de ne pas avoir de masque à gaz. Il est toujours en suspension, un tuyau m'aide pour vidanger son contenu, je le vide dans un seau puis dans les toilettes, que lui a dans sa chambre, mais il ne peut y accéder, moi je suis obligée de faire dans mes couches volontairement, car je remarque que je me contrôle de nouveau, mais je ne peux me changer que le soir, mes couches sont bien remplies. Je pense que Maitresse Nikita s'en occupe la journée, car de temps en temps, je la vois s'enfermer avec lui dans la pièce.

Le reste de la matinée, je m'occupe de faire le ménage : laver les sols à 4 pattes, faire le repassage, les lessives, faire les poussières, il y a plusieurs pièces, le boulot est énorme et m(occupe toute la journée.

Les repas du midi et du soir se passent comme le matin.

L'après-midi, rebelote, le ménage, il n'y a qu'une seule pièce qui m'est interdite : la chambre de Maitresse Nikita.

Le soir, je ne monte dans ma chambre que vers les 22 h 30, je mets une heure pour me dévêtir, je ne peux changer mes couches, car elles sont comptabilisées.

Je passe ma nuisette, et plonge rapidement dans un profond sommeil.

Le matin du 15éme jour, je fais une erreur, lors du petit déjeuner, j'ai renversé son verre de jus d'orange, elle m'a jeté un regard glacial, vite, j'ai tenté de rattr a p e r le coup, mais le mal est fait !

Sans rien dire, elle m'a laissée terminer de ranger et nettoyer la cuisine, elle m'attendait à la porte :

C'est ta 1ére erreur Jeanne, je ne vais pas laissée ceci passer.

À la minerve, elle accroche une laisse, et me traine derrière elle, elle me descend à la cave, je reconnais l'endroit où, j'ai passé ma 1re semaine. Elle accroche la laisse en hauteur, et part.

Elle revient avec sa chose, il est dans une autre combinaison plus grande que d'habitude.

Toujours suspendue, elle me déshabille entièrement, je suis rapidement nue.

Elle enlève mon bâillon, elle me glisse de nombreux suppositoires là où il faut, et je reçois un gros lavement.

Elle ouvre le derrière de la combinaison de la chose, je comprends vite, elle me glisse à l'intérieur de celle-ci, je sens le contact de la peau de la chose. Elle referme la combinaison, la cadenasse, et me mets le même masque à gaz que l'autre. Je distingue à travers les hublots Maitresse, qui attachent des chaines sur la combinaison, et nous finissons suspendus dans le vide.

Elle part, et ferme la lumière.

De suite, la chose remue et se trémousse, heureusement que nos mains ne sont pas dans ce cocon, sinon, il me tripoterait, j'en suis sûre. Mon ventre gargouille, j'ai des douleurs au bas ventre, je me tort de douleurs, la chose fait de même, elle a du recevoir le même traitement que moi, car il s'évacue sur moi, je sens le jet dans le bas de mon dos, je suis dégoutée, mais me lâche aussi, nous nous faisons littéralement dessus, j'ai honte ! Nos membres inférieurs baignent dans nos e x c r é m e n t s. La chose se trémousse toujours autant, j'ai l'impression qu'il essaye de se retourner, je tente de l'éviter, mais il bien plus gros que moi, et son poids sur mon corps, je ne peux luttée. On dirait qu'il y arrive, et à un moment je sens sa queue toute raide sur ma fesse gauche, oh, non, pas ça, pas comme ça, je suis vierge encore, je sens des coups de reins, mais il n'y arrive pas, il éjacule quand même. Ouf, j'ai eu peur !

Je reste ainsi une nuit complète, avec sa chose.

Le lendemain, Maitresse, n'est toujours pas contente, elle libère sa chose, mais moi, je reste dedans.

Elle revient très en colère :

Tu m'as déçue, Jeanne, ton service n'est pas impeccable, une surprise t'attend dans ta chambre, maintenant, tu retournes comme tu peux dans ta chambre, pour te laver, te changer. Tu m'attends nue.

Je me rends comme je peux dans ma chambre, car je porte toujours la combinaison !

Je nettoie le tout, et me douche.

Je remarque une enveloppe scotchée à la porte, je l'ouvre : c'est un bon de prise en charge pour une hospitalisation, demain, pour une pose d'implant mammaire.

Maitresse Nikita entre dans ma chambre :

voilà le grand jour arrive Jeanne, tu vas devenir une vraie femme, je l'ai promis à Madame Nicole, tu pars dans une heure. Prépare-toi, je t'ai préparé une tenue de ville et ton sac pour le retour. De toute façon, faire machine arrière t'est devenue impossible, maintenant !

Oui, Maitresse.

Elle sort en me donnant mes affaires et le sac.

J'ouvre le sac : dedans une trousse de toilette avec du maquillage, des culottes plastiques, et des soutiens-gorge, d'une très belle taille, de gros bonnets, il n'y a pas la taille, dommage.

Je descends à la porte, personne pour me dire au revoir, j'attends le taxi sur le perron de la villa.

Il arrive, je monte, sans un mot, le chauffeur démarre.

La route est longue, on passe la frontière, nous sommes en Belgique.

Il stoppe devant une villa bourgeoise, c'est une petite clinique privée.

Je descends, et ouvre la porte d'entrée, je me dirige vers l'accueil, l'hôtesse se lève et se dirige vers moi, elle est magnifique, la 1ére chose, que l'on remarque, c'est sa tenue, elle est entièrement recouverte de latex transparent, de la tête aux pieds, c'est une femme à la poitrine très opulente :

Bonjour, vous êtes ?

Jeanne, Madame Ok, très bien, on vous attend, Mademoiselle Jeanne, vous êtes là pour une pose d'implant, c'est cela ?

Je ne sais Madame, c'est Maîtresse Nikita, qui m'envoie OK, je vous conduis dans votre chambre.

Je la suis dans ma chambre, je pose mon sac.

Mademoiselle Jeanne, déshabillez-vous !

Oui Madame

J'enlève mes escarpins, bas, robe, et elle me stoppe, elle se glisse derrière moi, ses mains latexées parcourent mon corps, elle titille mes seins naissants, glisse une main, puis l'autre dans ma culotte plastique, elle tâte mon sexe, et me regarde bizarrement, elle tombe la culotte :

Mais votre est ridicule, il est temps que vous veniez chez nous, nous allons vous l'enlever et vous aurez un beau petit clitoris, votre poitrine ne ressemble à rien aussi Oui, c'est vraie Madame, la vôtre est vraiment magnifique Oui, j'en suis fière, tu auras peut-être les mêmes, je ne sais ce qui est prévu pour vous !

Quel est votre tour de poitrine ?

Un 95C, c'est très suffisant pour moi Oui, c'est très joli

C'est nue, que je reçois le chirurgien, sans mots, il dessine au feutre les contours de l'opération de mon sexe.

Vous n'avez pas mangé ce matin, Mademoiselle ?

Non, Monsieur.

Très bien, amenez là en salle d'opération !

C'est-à-dire Monsieur ?

Madame Nicole a tout prévu pour vous, remodelage de votre sexe et implants mammaires.

C'est-à-dire perte de mon pénis ?

Oui, vu ce qu'il vous reste, il vaut mieux pour vous, vous aurez un vagin artificiel avec construction de lèvres, etc.

Et pour les implants ?

Madame Nicole a choisi pour vous, votre taille, 1m78, est parfaite pour ce qu'elle a prévue : vous aurez un tour de poitrine de 100 et un bonnet C.

J'ai passé trois semaines dans cette clinique privée, ce ne fut que douleurs, bandage, rien de bien sexy.

Ce n'est que le dernier jour, que j'ai pu enfin me découvrir sans bandage, une fois debout, c'est le poids de mes seins que j'ai sentie en 1er, face à la glace, je les ai touchés, ils font faux, bien sûr, mais très agréable à toucher, enfin je passe la main sur mon sexe, et plus de pénis, je sens sous mes doigts mes propres lèvres, je tente un doigt et oui, j'ai un vrai sexe de fille.

Maitresse Nikita arrive dans la chambre, le sourire sur ses lèvres me fait plaisir, elle est contente du résultat. Elle sort et revient avec Maitre Yann et Madame Nicole.

Maitresse Nikita : alors, tu as vu Nicole, je te l'avais dit que j'en ferais une vraie femme !

Madame Nicole : oui, c'est vrai, j'étais sûre que tu ferais quelque chose de bien avec cet ancien jeune homme.

Maitre Yann : oui, elle est vraiment magnifique, une vraie femme.

Madame Nicole : oui comme tu dis une femme.

Maitresse Nikita : je te sens déçue Nicole ?

Oui, déçue, il ne m'intéresse plus trop maintenant, il ressemble trop à une Barbie, je n'ai plus envie d'elle maintenant, j'aurais préféré avoir une petite fille maxi 18 ans, avec des p'tites couettes, etc.

Les 2 : tu n'en veux plus ?

Non, désolée.

Maitresse Nikita : je la prends, elle sera parfaite, j'ai besoin d'une autre chose.

Maitre Yann : ah non, Nikita, tu l'as déjà eu, moi je la prends, j'en ferai mon autre esclave sexuel, j'en ferai une poupée Barbie très sexe.

Moi sans dire un mot, j'assiste à cet échange, je comprends que je partirai avec Maitre Yann.

Je passe les affaires que j'avais à mon arrivée, sans couches, je n'en porterai plus avec Maitre Yann, je passe une culotte frou-frou rose en plastique, des bas Dim, et une robe très courte vichy bleue, des escarpins blancs, une perruque, un peu de maquillage et me voilà prête.

Je pars directement avec Maitre Yann, sans dire au revoir, ce dernier m'emmène dans un grand sex-shop de la région bruxelloise, c'est là qu'il me prend mes nouvelles affaires :

Perruque blonde longue Guêpière en latex rose Bas en latex rose Catsut transparent Escarpins roses Longue robe en latex rose Une fois passée le tout, je suis une vraie Barbie, le reste est une autre histoire.

Chapitre 4

Cela fait maintenant 6 mois que je suis avec Maitre Yann : dés l'instant où je suis arrivée chez lui, il s'est débarrassé de son autre esclave, il l'a donné à Maitresse Nikita, ma seule occupation chez lui : satisfaire ses nombreux besoins, et aussi ceux de ses invités.

Un samedi soir, Maitre Yann me dit :

  • Jeanne, Madame Nicole a de nouveau besoin de tes services, je te remets donc à son service, fini les tenues latex roses, finies de jouer la Barbie, fini le sexe, tu vas reprendre un de tes rôles : celui de soubrette dévouée. Madame Nicole m'a donné tes nouvelles affaires : dans cette valise que voilà, file dans ta chambre les mettre, et dans 30 minutes, je te conduis chez elle.

  • Oui, Maitre Yann.

Valise à la main, je me rends dans ma chambre, je me demande ce qu'elle a prévu pour moi, je fais durer le suspens : ce n'est qu'entièrement nue, que j'ouvre la valise, je sors chaque affaire une à une, et les étale sur mon lit.

Je commence par le meilleur pour moi, je redécouvre enfin des changes complets, cela faisait tellement longtemps, je pose un change sur le lit, et mets l'ensemble des couches traversables dedans : 8. Je pose mes fesses dessus, hum quel joie de refermer les scotches sur le bas de mon ventre, debout je tâte mes couches, quel bonheur ! Je prends la culotte en plastique transparente, parfaite la taille, elle me couvre bien, au niveau de la taille, une chaine avec un petit cadenas, je comprends de suite, Madame Nicole veut reprendre la main sur ma propreté, je ferme le cadenas, voilà ainsi, à quand des langes propres ?

Je passe des bas blancs opaques, la guêpière me fait un décolleté très pigeonnant, je passe des jupons blancs très bouffants, par-dessus, une très belle robe de soubrette en vinyle noir, j'y attache le tablier en dentelle. J'ai aussi droit à une coiffe blanche, je ne porte plus de perruque, maintenant j'ai de longs cheveux blond grâce à des implants.

Et pour finir, de jolis escarpins de 10 cm chaussent mes pieds.

Je descends, la porte d'entrée est ouverte, Maitre Yann m'attend aux pieds des escaliers dans la voiture, je monte derrière, je soulève mes jupons, que c'est agréable de sentir un paquet à ses fesses, cela m'avait manquée.

Une heure plus tard, nous arrivons chez Madame Nicole, je dis au revoir à Maitre Yann et je sors de la voiture seule, les 50 mètres me paraissent long. Je sonne, Madame Nicole m'ouvre, elle me conduit sans mot dans la salle à manger :

  • Jeanne, tu es devenue une vraie femme depuis notre dernière rencontre !

  • Oui, Madame Nicole - Madame, seulement, tu ne t'adresses à moi que comme ça !

  • Oui Madame - Que penses-tu de ta tenue ?

  • Très belle, cela me change du port obligatoire et exclusif du latex chez Maitre Yann.

  • Que préfères-tu ?

  • Comme vous vous en doutez, les couches-culottes, et ma tenue de soubrette me conditionnent pour vous servir et m'occuper de votre demeure.

  • Je me doutai bien que le port des couches te ferait plaisir, et tu as parfaitement compris ton rôle dans la maison, tu vas vite reprendre tes habitudes, tu ne disposes que de 2 tenues, les mêmes, tu as 5 culottes plastiques sans cadenas, aujourd'hui c'est exceptionnel, 5 paires de bas blancs, 2 paires d'escarpins, 2 tabliers et 2 coiffes, à toi d'être toujours propre. Les couches que tu mets le matin, tu ne les changeras que le soir au coucher. La nuit, tu as le droit de dormir sans, c'est comme tu veux, pour la nuit tu reporteras une grenouillère.

  • Très bien Madame.

  • Bon, venons-en aux choses sérieuses, le pourquoi de ta venue chez moi : voilà, comme chaque année, je reçois un étudiant, cette année c'est une étudiante de tout juste 18 ans, comme toi orpheline, je sais déjà qu'elle n'a pas eu son examen de fin d'année. Il y a un peu moins de 6 mois, elle est venue me voir toute penaude, je l'ai suivie dans sa chambre et là j'ai vu la catastrophe, elle avait eu des règles très abondantes durant la nuit, sachant que j'étais une ancienne infirmière, elle m'a demandé conseils, je suis allée dans ton ancienne chambre, et devant elle, je lui ai donné des changes complets, vu que ses simples serviettes ne suffisaient pas. Quand elle en prit une dans sa main, elle ne savait qu'en faire, c'est là que j'ai pris les choses en main, d'un ton sec, je lui ai dit de se laisser faire, car sinon ce sera elle qui me paierait un nouveau matelas. Je lui ai enlevé sa jupe et sa culotte, sous mes ordres, elle s'est couchée sur le lit, c'est là que je l'ai langée, et par-dessus j'ai mis une culotte plastique rose. Elle est restée très docile et un peu soumise, je lui dis sèchement que c'est la seule solution, elle ne voulait pas rester ainsi la journée, je lui ai dit qu'elle n'avait pas le choix, sinon, elle partait de suite ! C'est ainsi qu'elle a commencée à prendre goût au port de changes complet, seulement pendant ses menstruations au début, et ensuite, j'ai remarqué que les paquets que j'avais mise à sa disposition continuaient à diminuer.

  • Et qu'en est-il aujourd'hui, elle en porte encore ? Madame.

  • Oui, toujours, et j'ai même fait semblant de ne pas renouveler les stocks, elle est venue me voir pour dire qu'ils n'en restaient quasiment plus.

  • Et elle fait tout dedans ? Madame.

  • Non, que le pipi, d'après ce que j'ai vu dans sa poubelle.

  • Moi, qu'est-ce que je viens faire ? Madame.

  • Toi, tu vas me servir, car je compte en faire mon bébé, je lui ai dit que j'avais embauché une véritable soubrette docile, tu la verras dés demain, tu seras dans cette tenue, avec de très grosses couches aux fesses, quand elle sortira de sa chambre vers les 7 h 30 pour prendre son petit déjeuner avec moi, elle tombera sur toi, tu feras les escaliers du grenier, face à sa chambre, comme ceci, la 1ére chose qu'elle verra de toi, ce sont tes grosses couches, OK ?

  • Oui, Madame - Très bien Jeanne, je compte sur toi, sinon, je te redonne à Maitresse Nikita, elle cherche encore une autre chose !

  • Oui, Madame, vous pouvez compter sur moi, Madame.

  • Très bien, voici la clef de ton cadenas, pour ce soir ça ira, demain lever à 6 heures, tu reprends du service !

  • Oui, Madame, juste une question Madame - Oui Jeanne - Est-ce que je peux répondre à cette jeune fille, car elle me posera certainement des questions ?

  • Oui, tu peux, mais le minimum, à demain Jeanne, demain tu te lèves à 6 h.

  • Bonne nuit Madame.

Je monte dans ma chambre, dedans juste un lit à barreaux, recouvert toujours d'une simple aléze en plastique très épaisse, et une commode, maintenant je dispose d'une salle de bain.

Je tombe mes vêtements, pour vite me retrouver nue, un brin de toilette, et j'enfile ma grenouillère, en coton très épais.

6 heures, réveil, j'immerge, je fais ma toilette, mon pipi attendras, je n'ai pas le droit au cabinet de toilette.

J'ouvre la commode, toujours autant de couches et changes complets. Madame n'a prévu que des changes grandes tailles, j'en remplie un de couches droites, je redécouvre le plaisir de me langer, poser mes fesses sur ce lit de coton, je scotche les adhésifs, pour la culotte, ce sont toutes les mêmes : transparentes, une fois mise, elle ne cache rien. J'enfile mes bas, y attachent les jarretelles de ma guêpière, ma robe, la coiffe et les escarpins.

6 h 45, je prends mon petit déjeuner, vaisselle, et prépare celui de Madame et de sa locataire.

7 h 15 : je suis dans l'escalier face à sa chambre, j'épie le moindre bruit, je tourne le dos à sa porte, je garde mes jambes bien droites, torse penché, comme Madame me l'a demandé.

La porte s'ouvre, je sens sa présence derrière moi, j'entends un petit « bonjour », je ne réponds pas. Je sens une main sur mes fesses, elle tapote, mais comme je ne bouge pas, faisant semblant de ne pas sentir, elle tape plus fort, je me retourne tout étonnée.

  • Bonjour, me dit-elle, en ne regardant que ma poitrine opulente.

  • Bonjour Mademoiselle - Vous êtes la nouvelle bonne ?

  • Oui, Mademoiselle, je tiens le rôle de soubrette chez Madame Nicole.

  • Ok, vous vous nommez ?

  • Jeanne, pour vous servir Mademoiselle.

  • Ok, Jeanne, moi c'est Kimi, je descends prendre mon petit-déj.

  • Bien Mademoiselle, je vous suis Mademoiselle.

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